La compagnie 2k_far, compagnie de danse contemporaine et de création en tout genre
Dans notre Maroc, pays où la création artistique a du mal à trouver sa place en tant que vecteur de développement de la pensée ; au cœur d’une ville, Casablanca, aux rythmes pressants, qui prend rarement le temps de s’arrêter pour observer autour d’elle, s’est créer il y maintenant 2ans de cela une compagnie de danse contemporaine et de création en tout genre, la Cie 2k_far.
Compagnie de danse contemporaine ou d’expression artistique de la pensée contemporaine, Cie 2k_far, danse ce qu’elle observe et analyse de l’environnement.
Elle danse pour parler de la vie.
____ Zouheir ____ Younes ____ Younes ____ Sophia ____ Omar ____ Mostafa ____Loren ____Khalid, artistes, dynamiques, volontaires, assoiffés de découverte et de nouvelles manières de former la pensée, ils découvrent dans l’art chorégraphique, une langue qui leur parle et qu’ils apprennent à manier, à travers l’étude des mécanismes poétiques du corps et de la culture chorégraphique. Progressivement, ils construisent leurs danses, reflet d’une réalité personnelle qui leur correspond, expression de ce qui gît dans l’esprit.
Au départ, les timides bégaiements artistiques de la compagnie se font dirigés par l’expérience, la vision nouvelle et les connaissances de Khalid Benghrib. Plus tard, ce père, devient face aux déliements des corps et des mouvements, le frère qui, aujourd’hui écris et réécris « les créations en tout genre » en compagnie de ces jeunes de tous bords.
3Suites#06, la compagnie 2k_far, ne peut s’empêcher de créer
// HOTEL MOULANA
// TAKE FATE
// ROUND#1
Suite à l’expérience chorégraphique, La Smala B.B en 2006, la compagnie 2k_far, ressent la même année, le besoin artistique de continuer à poser ses questions, à travers une nouvelle expression visuelle, différente, un film, trois courts métrages, « Les 3 suites#06 ». Un triptyque, construit autour du corps et de sa syntaxe pour traduire le sacrifice Abrahamique.
Synopsis :
Le corps anonyme, parle ce lieu d’esprit où le son préexiste à la danse et le mouvement s’élabore de minimalisme à une écriture minuscule brodée comme la poussière de cette roche qui s’use. Faire sortir l’unité qui se détache de l’ensemble. il n y a pas l’histoire , pas de lieu, il y a juste le temps d’un être dans cette géométrie de transfert et de procession ou la répétition est de rigueur, pour conjuguer l’acte Ibrahimique du sacrifice.
Donner à voir et à rêver sans chercher à convenir une bribe de l’histoire ou de figurer une architecture quelconque mais d’en faire corps et sensation.
L’espace alors devient révélateur de dieu à mon image.
Accueil 
